Il ne pleut pas sur Brest

 

Un homme se promène dans la ville de son enfance, Brest.
Il la retrouve enfin.

Il croise des inconnus qui lui rappellent des amis, des parents.
Ce vieil homme fatigué, n’est-il pas son ancien instituteur de la place Sanquer ?

Devant la gare de Brest, il se souvient de sa petite mère qui l’attendait sur le quai,
frêle silhouette devant l’immense océan. Il contemple l’arsenal et pense à la guerre,
à la libération, à la maison familiale détruite et reconstruite.

La tempête gronde, un bateau se précipite pour sauver des hommes perdus en mer.
Alors, dans cette atmosphère tragique et fraternelle, sur le pont Robert Schumann,
le pont de la désespérance, il chante l’éternelle espérance et répond à l’héroïne de
Jacques Prévert : « Il ne pleut pas sur Brest, Barbara, quand on aime ».

Et c’est vrai que l’amour transfigure le regard, le pas se fait plus vigoureux, plus alerte
vers Recouvrance, vers l’avenir.

« Une vague montante
Qui peut tout espérer
D
es enfants qui enfantent
La nouvelle cité

Brest-même
Je t’aime
A vivre ensemble
On se ressemble
Entre tes murs
Je me rassure »

 

Sortie en 2004
 1- Un bateau pour sauver des hommes
 2 – Petite mère grand océan
 3 – Brest je t’aime
 4 – Tourne la page
 5 – Il ne pleut pas sur Brest
 6 – Un monde inachevé
 7 – Du haut de la Désespérance
 8 – Je te préfère à l’héphémère Paroles :  Maxime PIOLOT
 9 – L’instituteur s’en est allé Musiques :  Dominique RIVIERE : 1,3,4,6,7,8,10,11
10 – La guerre les yeux fermés   Hervé QUEFFELEANT : 2,5
11 – L’homme de la mer est un poète   Christian DESBORDES : 9,12
12 – Un jour on se voit dans la glace Voix :  Maxime PIOLOT
  Corinne SCHORP
Musiciens :  Patrick AUDOUIN
  Xavier LECOMTE
  Robert LE GALL
  Jean-Philippe LE COZ
  Régis MANCEAU
  Hervé QUEFFELEANT
  Bernard QUILLIEN
  Dominique RIVIERE
  Jacquy THOMAS