Discographie

« LE REGARD DES GENS »

Le regard des gens
Empoisonnez-moi !
La vieille femme en toi
Les chevaliers d’aujourd’hui
A quoi rêvent les pêcheurs ?
Condamné à la liberté
S’étonner du jour qui vient
La parole
Les fourmis
Je te veux du bien

« RESSEMBLANCES »

L’enfant indien disait
Giovanni
Le volcan dort
Le soleil détourné
Les blockhaus
Le sanglier c’est toi
Un bateau c’est comme un pêcheur
Connais-tu la faim ?
Dans l’homme il y a l’enfant
Utile à quelqu’un

« DIS-MOI QUELQUE CHOSE »

On chante encore
Je donnerai ma voix
Dis-moi quelque chose
Du soleil et des brumes
Monsieur Gandhi
Les amis qu’on aime
Il ne faut pas jeter le pain
Paysan ou pêcheur
Les enfants timides
Peur
Où irons-nous chercher du grain ?

« JEANNE D’HAM »

Les elfes dansent autour de toi
Lettre à Jeanne
Où l’on va quand on n’est plus là ?
J’ai lancé la bouteille à la mer
Il faut partir
On est toujours en guerre
Dis-moi la citadelle !
Je préfère les cargos
Tu voudrais inventer le soleil
J’ai renversé le jeu d’échecs
Mon cœur qui bat
Lettre à Jeanne (instrumental)

« MOLENE-GAEL-OUESSANT »

Molène
Si j’étais la fin du monde
Je suis un peuplier
La pleine lune
Ils disent
Gaël
La couleur de ta peau
J’ai pas appris
Le géant
Lequel des Dieux ?

« BRETON QUAND MÊME »

Breton quand même
Comment lui dire ?
Le carrosse du pauvre
Je serai comme un âne
Je te veux du bien
Enfant du Sénégal
Le père donne
Celui qui n’interroge as
On n’a pas le temps de ne pas aimer
Nous sommes tous des clowns
Faire chanter les pierres
A la pointe Saint-Mathieu

« DIHUN »

Tiens-toi compagnie
Sans les menhirs, il n’y a pas de croix
Chanson pour une vache
Le guerrier arc-en-ciel
Ton métier c’est la rencontre
Ça veut dire quoi Locmaria ?
Nous sommes les enfants de l’eau
Etais-je troubadour ?
La parole
Pour que le vent emporte
Le Hors-la-loi

« DU SILENCE ET DES FÊTES »

Fête de la Réconciliation
Même les loups fêtent Noël – Fête de Noël
Fête de la Victoire
Une croix – Fête de Pâques
A la révolution – Fête du 14 juillet
Je ne sais pas ce qui se passe – Fête des Morts
J’allumerai un feu – Fête de la Saint-Jean
Et les enfants reviennent – Fête des Mères
Chacun travaille sur son bateau – Fête du Travail
Fête du Silence

« AIMER , C’EST AGIR »
(Hommage à Victor Hugo)

Aimer, c’est agir
C’est la faute à Hugo
Ce que dit la bouche d’ombre
La femme qui protégeait les oiseaux
Quand on a l’art d’être grand-père
De la poudre et des balles
Victor Hugo, Napoléon
La bonté des pauvres
Il est temps que je tombe amoureux
Je crois en l’homme

« L’ÂME DES ÎLES »

Elle est fragile l’âme des îles
J’ai découvert une île
Les femmes d’Ouessant
Exilé
Mourir chez soi
Ecolier dans une île
J’appartiens à cette île
Sauver une école
Les enfants qui jouent sur la plage
Comment font-ils ?>
Un bateau c’est comme un pêcheur

« LE VOYAGE COMMENCE A PEINE »

Sur le chemin de Compostelle
Gwen
Comment peux-tu chanter ?
Qu’ai-je fait de mes talents ?
La parole repousse la pierre
Dis-moi ces mots
Notre histoire est chrétienne
Il calma la tempête
Il pardonna
Est-il descendu le Diable ?
Le regard des madones
Il ne faut pas jeter le pain
Elle aurait voulu

« IL NE PLEUT PAS SUR BREST »

Un bateau pour sauver des hommes
Petite mère, grand océan
Brest-même, je t’aime
Tourne la page
Il ne pleut pas sur Brest
Un monde inachevé
Du haut de la désespérance
Je te préfère à l’éphémère
L’instituteur s’en est allé
La guerre les yeux fermés
L’homme de la mer est un poète
Un jour on se voit dans la glace

« UN SIGNE EN PASSANT »

Au revoir
Offre-moi un galet
Les passants
La force de partir
Les paroles s’envolent
Pour la récolte, pour la révolte
Le rêve de la mère
Le sorcier m’a dit
Le flux et le reflux
Les cheveux blancs
Une chapelle, une fontaine
Mon père (les bateaux de guerre)

« LES RENDEZ-VOUS
QU’IL NE FAUT PAS MANQUER »

J’aurais pu ne pas être
Seuls, tous les deux, on est si peu
Chanter pour un navire
Nous venons de la mer, la montagne qui danse
Mamie lecture
Tu viens du pays de l’homme intègre
Les voisins de la providence
Voguer, fidèle à son étoile
Aimer de plus en plus
Des rendez-vous qu’il ne faut pas manquer

« LE TEMPS QUI NOUS EST DONNÉ »

Je crois aux signes quand ils parlent de toi
Bientôt un enfant va naître
Île d’Yeu
Rimbaud à Djibouti
L’infirmière
L’argent, parfois, c’est de l’amour
Dis-moi, la citadelle
L’enfant des rues
Princesse au quotidien
Dis-moi, on peut faire quoi ?
Le maire de mon village
Perfide Albion

« FAIS CONFIANCE…
MAIS ATTACHE TON CHAMEAU »

Les femmes qui vivent seules
Tu réchauffes la terre
Attache ton chameau
Nous sommes tous handicapés
Je t’appelle espérance
Donneur de sang
Un grain de sable
L’âme d’un métis
La ressemblance
J’ai fait le pari
Les hommes qui vivent seuls
Le sport et sa misère

« SI TU ES MON AMI »
(L’homme qui venait d’Assise)

Si tu es mon ami
Les âmes sœurs
Maximilien
La beauté intérieure
Comment ne pas dire merci ?
Le corps est un ami
Dame simplicité
La joie suprême
Le mendiant
Petite sœur
Le petit pauvre

« L’HUMANITÉ A SOIF »

L’humanité a soif
Mon enfance fut belle
L’enfant sage
Tous les chemins
Ce que j’aime en toi
Les arbres, ont-ils une âme ?
Qui ne risque pas sa vie
Ferrat
Le corbeau et Moi
Aimer
Tu vas bien, tu vas mal, mais tu vas quelque part
Chante-moi ta prière !

« UNE VIE …»

Une vie
A quoi ça tient ce qui advient ?
Dieu est comme un enfant
Les pères d’aujourd’hui
J’étais bagnard à Brest
Y’aura toujours la guerre
Je ne sais plus qui je suis (j’ai perdu la mémoire)
Je cultive mon jardin
La rentrée de septembre
Le courage de Jeanne
On va bénir la mer
Être heureux
D’une vie à une autre

« LES FRUITS DU SILENCE »

Les fruits du silence
L’eau de la source
La grande bleue
On n’a pas tous les mêmes chances
Tu voudrais inventer le soleil
Comme si Dieu n’existait pas
Parce que c’était toi
N’écrase pas les escargots
Nous passons notre temps à partir
Une vraie lettre d’amour
Merci à vous tous les amis
Fête du silence

« JE VOUDRAIS TE DIRE »

Comme cela fait du bien
Tourne la roue, tourne la terre
Cinq jours de pluie
Enfant de la ville
Porte-toi bien !
Tu étais juive, Marie
Je prendrai le bateau d’Ouessant
L’âge qu’il me reste à vivre
C’est quoi la mer sans les marins ?
Il voulait nous apprendre
La musique est partout
Même si tu n’es qu’un homme

« J’AI BESOIN DE TOI »

J’ai besoin de toi
Je doute parfois
Ils étaient non-voyants
Je préfère
Nous nous ferons de nouveaux souvenirs
Résister
On ne regarde pas assez les étoiles
Un ami est malade
Quand le soleil s’en vient en Finistère
Connais-toi toi-même !
Qui a souffert de trop aimer
La femme

« EXISTER »

Comprendre autant qu’aimer
Si j’avais dix-huit ans aujourd’hui
Frère animal
Je ne vois pas ton âme
La vraie vie est-elle ailleurs ?
Gare Montparnasse
Tant que je marcherai
Noël sous la mer
Elle priait
Qu’est-ce qu’on laisse derrière soi ?

« J’AIME VIVRE »

J’aime vivre
Ouvre-toi belle chapelle !
Fais-moi un signe s’il te plaît !
L’argent
Temps présent
L’humanité d’abord
Ça veut dire quoi Locmaria ?
Où es-tu toi qui n’es plus ?
S’endormir et s’éveiller
J’imagine
Les âmes pures
Si tu existes
La rencontre inespérée

«DES PAS SUR LE SABLE »

Quoi de plus fragile qu’un grand amour ?
Mes pas sur le sable
Tant qu’il y aura
Les braves gens
Un coquillage pour entendre la mer
Besoin d’être seul
Partir et revenir
La barque frêle
Des machines et des hommes
Monsieur le bourreau
Être aimé enfant
Éléonore

«UN AUTRE REGARD »

J’écoutais les vitraux des églises
L’ivrogne au grand coeur
Ce n’est pas en rêvant
Qu’est-ce que tu crois !
Un ballon dans la poussière
L’homme qui veille
Je préfère le regard des gens
Si c’était vrai
Je regarde la mer
La rencontre
Nos parents

«ON SE RETROUVERA »

On se retrouvera
Le bus de l’avenir
Les grandes vacances
La nature nous parle
La femme que j’admire
Ils se sont aimés
Ta mère t’a porté
Mon ami et mon frère
Enfant du naufrage
La femme des quatre saisons
Venir sur terre
Mourir, c’est partir en voyage

«UN ARBRE M’A DONNÉ SON OMBRE »

Un arbre m’a donné son ombre
A Dieu vat
Ai-je trop aimé ?
Peur
Tout ce que j’ai donné
Le mystère est dans cette vie
Tu étais Merlin
Comme ils ont de la chance
Toi qui t’envoles
Ne pleure pas pour Pompéi !
À quoi bon

«NOUS SOMMES DE PASSAGE »

Nous sommes de passage
La maison de mon enfance
Quel étais le nom de ce petit village ?
As-tu connu la solitude ?
Tu seras là si je le crois
Que vont-ils devenir ?
Mon semblable
Étranger à ce monde
On l’appelait la non-violence
une croix comme belle histoire